Depuis plusieurs mois, une adolescente suédoise, Greta Thunberg occupe le devant de la scène médiatique par son engagement militant à « sauver la planète ». Mais qui est cette nouvelle star, et surtout, qui est derrière elle ? Et pourquoi beaucoup l’estiment dangereuse ?
Greta Thunberg est suédoise. Elle s’est distinguée par un appel à tous les adolescents de son pays d’abord, puis de ceux du reste du monde, à observer une grève de l’école tous les Vendredis, pour aller manifester devant le parlement, pour exercer des pressions sur lui et l’emmener à voter des lois et appliquer des programmes pour « sauver la planète » en luttant contre le réchauffement climatique.
Si l’initiative semble louable en elle-même, beaucoup de parents se sont montré inquiets pour leurs enfants dans la perspective de boycotter l’école chaque Vendredi. De plus, alors que le débat sur l’origine anthropique du réchauffement climatique bat encore son plein, une adolescente vient faire pencher la balance en faveur de ceux qu’on appelle les « climato-alarmistes ». C’est-à-dire, ceux qui pensent que le réchauffement climatique est dû aux activités humaines, tant économiques que sociales. Dans ce clan, certains « scientifiques » sont allés jusqu’à incriminer les pets de vaches responsables de l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère. La question de l’influence du CO2 sur le réchauffement climatique est encore vivement débatu dans les cercles scientifiques, malgré les rapports du GIEC, supposé être un groupe de recherche spécialisé dans les questions du climat. Tous les rapports de ce groupe- lauréat du Prix Nobel de la Paix en 2007 avec l’ancien vice-président des Etats-Unis sous Clinton, Al Gore- ont été remis en cause par les spécialistes, estimant qu’il est manipulé et scientifiquement incorrect. Déjà en 2006, Al Gore avait produit un film « Une vérité qui dérange » affirmant que si rien n’était fait que la planète allait mourir dans dix ans. C’est-à-dire en 2016. Pour cela, il préconisait de prendre des décisions drastiques pour « sauver la planète ». Treize années plus tard, la planète est toujours là, bien vivante. Et c’est là qu’intervient Greta Thunberg.
Dans sa biographie officielle, Greta est présentée comme un autiste de naissance qui a développé des angoisses à propos du changement climatique, suite à une dépression nerveuse. A l’âge de onze ans, plusieurs troubles psychologiques lui ont été diagnostiqués. Depuis, elle serait devenue végétalienne, refusant de consommer tout produit d’origine animale : viande, œufs, lait, etc… influençant en cela même ses parents. Greta s’est alors rendu compte qu’elle pouvait, si elle s’y mettait, influencer les autres dans le sens de ses propres angoisses. Son père acteur, sa mère chanteuse et sa jeune sœur l’aident alors à publier sa biographie, Scenes from the heart (scènes depuis le cœur) et lance sa célèbre grève de l’école.
Derrière la vitrine
Selon le journal Reporterre, dans une série d’articles publiés par des journalistes d’investigation et des politiciens, un professionnel suédois de la communication du nom de Ingmar Rentzhog serait derrière toute cette mise en scène. Rentzhog est cofondateur de la start-up We Don’t Have Time (WDHT), « Nous n’avons pas le temps », créée en 2016. C’est un ami de lafamille Thunberg, dont les parents sont aussi des artistes qui ont participé en 2018 à une conférence sur le climat. C’est à partir de là que le spécialiste de la communication convainc les parents de Greta de la faire participer à un scénario pour aider à la lutte contre les émissions du CO2. Depuis, des photos de l’adolescente sont publiées dans la presse, la montrant assise devant le parlement sudédois pour exercer sur lui des pressions « écologiques ». Un véritable plan de communication, puisque des comptes Tweeter et Instagram ont créés pour elle. Ingmar Rentzhog avait l’intention de créer un réseau social de plus de 100 millions de membres, dont l’objectif est d’influencer les Hommes politiques et chefs d’entreprise pour les amener à agir contre le réchauffement climatique.
Qui est derrière Ingmar Rentzhog ?
Parmi les actionnaires de sa start-up WDHT, se trouvent des investisseurs spécialistes du domaine de la finance, sans aucun rapport avec l’écologie. Mais c’est connu, l’argent n’a pas d’odeur. Dans son conseil consultatif, WDHT réunit également également Daniela Rogosic, attachée de presse du groupe suédois IKEA spécialisé dans l’ameublement et les équipements ménagers, tandis que dans son conseil d’administration on trouve trois membres expérimentés du programme de leadership Climate Reality d’Al Gore. Ce dernier dirige quatorze entreprises spécialisées dans le domaine de l’écologie. Des sociétés très florissante qui assurent à l’ancien vice-président une fortune considérable.
Ainsi, et au vu de ces données, il n’est pas exagéré d’avancer que la petite Greta Thunberg n’est qu’un pion entre les mains de programmes inavoués de gens dont le seul but est de gagner de l’argent, quitte à faire croire au monde entier que la planète serait en danger imminent, et qu’il serait urgent d’agir, quitte à boycotter l’école.
Derrière cette course effrénée de gagner de l’argent, se cache aussi toute une idéologie verte. Ce fruit a ceci de particulier, c’est quand on l’ouvre, on découvre que son contenu est rouge, affirment les opposants à cette démarche catastrophiste. A long terme, on arrivera à dégouter le monde, y compris de ce qui est bon. Car ces bien-pensants, ont l’ambition de gouverner laplanète en contrôlant jusque ce qui se trouve dans les assiettes des gens. Parmi les alliés de ces gens se trouve malheureusement le secteur des médias presque totalement sous leur contrôle. Il est difficile aujourd’hui d’arriver à placer un mot à contre sens de cette idéologie. Ceux qu’on appelle les climato-réalistes ne sont que rarement admis sur les plateaux de télévision, puisqu’ils apportent la contradiction à la théorie dominante. Si la planète se réchauffe, disent-ils, ce n’est nullement la faute des Hommes. C’est un phénomène naturel qui a déjà eu lieu dans le passé, alors que l’Homme ne produisait pas autant de CO2 qu’aujourd’hui.
Aux yeux de beaucoup, Greta Thunberg est une adolescente manipulée, trompée et abusée, dont on utilise les craintes et les angoisses, en les transférant aux parlements, ONG et adolescents, pour mieux orienter leurs choix futurs, et assurer la fortune des gens qui tirent les ficelles derrière la scène. Ce n’est donc pas elle qui est dangereuse, même si beaucoup lasurnomment le Gourou Apocalyptique, mais ceux qui l’utilisent
Nabil Z.
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