La sortie du livre « The Dictator Pope » a fait l’effet d’une bombe dans les milieux catholiques. Il a été discrètement publié en latin avant d’être traduit en anglais. Son auteur n’est pas connu, puisqu’il utilise un pseudonyme : Marcantonio Colonna.
Le nouveau livre, The Dictator Pope, a attiré l'attention internationale sur les prétentions au pontificat actuel de Jorge Bergoglio, et des rapports indiquent que le Vatican cherche anxieusement qui en est l'auteur, qui se fait appeler du nom d’un aristocrate italien du 16ème siècle qui a servi comme amiral de la flotte papale.
Jorge Bergoglio a été élu pape en 2013 en tant que libéral et réformateur. En fait, il était connu depuis longtemps en Argentine comme étant un politicien manipulateur et un habile communicateur. Derrière le masque d'un homme génial et populaire, le pape François a consolidé sa position de dictateur qui règne par l’intrigue et la peur et qui s'est allié avec les éléments les plus corrompus du Vatican pour empêcher et inverser les réformes qu'on attendait de lui.
Dès son élection, il avait déjà suscité la polémique, surtout dans les milieux hispaniques et latins, parce qu’il n’était pas connu pour sa sagesse et son humilité, mais plutôt pour ses intrigues et manipulations de toutes sortes. On s’en souvient, il avait remplacé le pape allemand Ratzinger, connu sous le nom de Benoit XVI, qui avait été contraint à la démission. Chose qui en elle-même, avait scandalisé les catholiques du monde entier. Ratzinger avait subi tellement de pressions de la part des Jésuites qu’il en était arrivé à craindre pour sa vie. Il avait donc préféré renoncer à sa fonction, plutôt que de continuer à se battre contre les moulins à vent. Car, même les comptes bancaires du Vatican avaient été bloqués pour ne lui laisser aucune marge de manœuvre. Les spécialistes avaient à l’époque, dénoncé l’œuvre de Jésuites extrémistes.
L’objectif des Jésuites était de placer à la tête de l’institution pontificale un des leurs, pour accomplir des projets occultes que les spécialistes ne cessent de dénoncer. Mais leur mainmise sur les médias ne permet pas à ses dénonciations d’atteindre le grand public et de créer un véritable scandale à même de susciter une réaction de grande ampleur. Il fallait donc trouver parmi leurs adeptes quelqu’un qui ait une belle image. Le choix de Jouge Bergoglio a donc été fait sur la base de ses capacités à séduire le public, un peu comme l’avait fait en son temps Carole Wozjnia, alias Jean Paul II. Wikileaks avait en son temps révélé que le coup d’Etat contre Benoit XVI avait été fomenté par Barack Obama, Hilary Clinton et le milliardaire George Soros, d’origine hongroise.
En Novembre 2016, dès l’élection de Donald Trump, un groupe de dirigeants catholiques avaient saisis le président élu pour le sensibiliser à la question du coup d’Etat et de l’élection de Jorge Bergoglio. Ça annonce, disaient-ils, de sombres projets sont à l’horizon.
Le Pape François : Le Faux Prophète de l’Apocalypse ?
D’autres chercheurs et écrivains ont également dénoncé François, affirmant qu’il s’agissait de personne d’autre que du Faux Prophète annoncé dans le livre de l’Apocalypse dans la Bible. Rappelant la célèbre prophétie de Saint Malachie, ils déclarent avec force arguments que Jorge Bergoglio est venu préparer le chemin de l’Antichrist, également annoncé dans le livre de l’Apocalypse. Curieusement, celui qui a été le premier à l’affirmer a été un prédicateur d’origine Hindoue, Sadou Sundar Selvaraj. Ses déclarations à la télévision ont en surpris plus d’un, et nombreux furent les spécialistes qui se sont mis à vérifier ses déclarations. L’un d’eux est Tom Horn, un influent auteur américain, qui a publié Petrus Romanus, the Final Pope is Here, ou Pierre de Rome, le Dernier Pape est ici. Il affirme dans son livre que son enquête avait conclu que plus de 50% des catholiques interrogés à ce sujet, croient vraiment que François est le dernier Pape avant l’arrivée de l’Antichrist.
La lame de fonds est entrain de prendre forme, et avant que l’identité de l’auteur de « The Dictator Pope » ne soit révélée, le Vatican a fort affaire pour essayer d’éteindre l’incendie.
L’auteur
Celui qui se fait appeler Marcantonio Colonna se dit diplômé de l'Université d'Oxford et possède une vaste expérience en recherche historique et autre. Il dit qu’il vit à Rome depuis le début du pontificat du pape François, et son livre serait le fruit de contacts étroits avec beaucoup de ceux qui travaillent au Vatican, y compris les principaux cardinaux et d'autres figures mentionnées dans le récit.
Mais les soupçons vont directement vers le cercle rapproché du pape lui-même, parce que le contenu du livre révèle des détails stupéfiants, que seuls connaissaient les plus proches de François. Ce qui n’a pas manqué de susciter une atmosphère de suspicion dans le cabinet du Pape.
L'auteur a écrit avec courage, discipline et attention au détail dans ces questions critiques et sensibles. Le livre est bien documenté avec un travail journalistique clairement mesuré et d’excellente qualité.
Mais quel serait le rôle du Faux Prophète ?
Selon Tom Horn, et Derek Gilbert, un autre auteur américain de renom, la mission du Faux Prophète consiste à préparer la venue de celui qui est connu comme l’Antichrist. Ce sera une période de grands troubles, de guerres et de bruits de guerre, comme nous commençons à peine à le vivre. Sa méthode se base sur la séduction pour endormir la méfiance des croyants de tous bords, en introduisant des éléments les maintenant dans la crainte et la soumission. L’un de ses moyens est la menace qui pèserait sur la terre, à la fois de l’intérieur, avec la théorie du Réchauffement Climatique largement soutenue par le Vatican, et de l’extérieur avec la menace des extraterrestres, avec des récits extraordinaires d’OVNI et d’apparitions nocturnes non identifiées. Pour accentuer la séduction, le pape serait chargé de poursuivre l’œuvre engagée par ses prédécesseurs, consistant à créer une seule religion mondiale, appelée l’Œcuménisme. Cette religion qui serait sous son autorité, amènerait la planète à adorer « un seul et même dieu », encore mal défini par le Vatican. Plusieurs chefs d’Etats et dignitaires religieux ont souscrit à cette démarche, dont Barack Obama, le Mufti d’Al Azhar, ou encore, un certain nombre de responsables religieux, juifs, bouddhistes ou protestants. François avait même réussi à faire prier ensemble sous son autorité dans le Vatican, Mahmoud Abbas, président de l’Autorité Palestinienne et Shimon Perez, président de l’Etat d’Israël. Qu’importe le vin, pourvu qu’on ait l’ivresse, disait le dicton. Du moment qu’on prie le même dieu, qu’importe la religion que nous pratiquons, pourvu qu’on le fasse sous l’autorité du pape.
Ce livre est déjà considéré comme une grande première ébauche de l'histoire de la papauté de François. Les comptes sont bien documentés et vifs. Il est intéressant de noter que le Vatican ait choisi de ne pas nier les nombreux épisodes racontés dans le livre, mais continue quand même de déclarer que tout va bien.
Nabil Z.
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